J'aurais pu crier, le supplier, pleurer. Mais je n'ai rien fait.
J'aurais pu lui dire que non, non je ne voulais pas. Mais je n'ai rien fait.
Parce que finalement, c'est peut-être bien mieux comme ça. Parce que, finalement, je ne savais pas vraiment.
Parce que finalement, c'est peut-être bien mieux comme ça. Parce que, finalement, je ne savais pas vraiment.
Je redescends de mon petit nuage.
J'atterris dans ce monde brutal.
Vous dire que je vais bien serait faux. Mais vous affirmer que je vais mal le serait aussi.
L'amour est enfant de bohème : il se balade de coeur en coeur mais ne s'arrête jamais vraiment.
Toutefois, vous avouer que je ne crois plus en l'amour serait totalement mensonge. Je garde l'espoir que l'amour existe quelque part, que quelqu'un fera un jour battre mon coeur. Même si certains s'amusent à me faire douter.
L'espoir fait vivre, de toute façon.
Je ne vais pas bien, je ne vais pas mal. Je fais avec. J'aurais juste du mal à, à, mais je ne vais pas vous raconter mes états d'âme.
La vie continue. Et elle est belle, si belle ! J'ai encore de la marge devant moi pour en découvrir toutes les facettes.
Alors ne vous apitoyez pas sur mon sort. Et profitez de la vie.
Alors ne vous apitoyez pas sur mon sort. Et profitez de la vie.